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Pulsion pour la Fessée
24 février 2006

Soumettre : où, comment gérer les peurs et les angoisses

Soumettre, c'est faire accepter à l'autre un dépassement de ses propres limites

Encore faut-il les découvrir ces limites, que constituent la frontière des inhibition de chacun, tel un cambrioleur qui ausculte un coffre fort, le dominateur se doit de découvrir par manipulation de l'âme les peurs secrètes, les réserves cachées , les envies secrètes de sa victime, qui saura parfois le guider ver sses attentes souhaitées mais qui le plus souvent cachera à son maitre les vraies peurs ancestrales qu'elle refuse d'affronter.

La phase d'auscultation est une merveilleuse expérience de la découverte, presque du viol d el'ame de sa victime qui ne l'est pas encore à ce stade, les découvertes sont parfois hazardeuses mais toujours surprenantes, dont voici mes meilleurs souvenis :

M. était terrorisée à l'idée que quelqu'un lui enserre le cou ; même très légèrement, elle refusait même d eporter un simple collier pesant ; a force d emenaces et de sanctions, je la forcais à s'agenouiller devant moi et lui présentait le large collier d ecuir qu ej'allais lui serrer autour du cou. Elle devait se présenter la tête inclinée ; les mains jointes dans le dos sans avoir le droit de s'y opposer. Elle restait tétanisée à l'idée de cette contrainte qui menacait de l'étouffer au point qu'elle ne pouvait s'empecher d'un geste incontrolé de résister à cet enfermement, je l amenaçais alors et la fessais, consentante de son incapacité à se soumettre et à dépaser ses peurs secrètes.

C. ne supportait pas le noir, ni l'isolement, à chaque faute, je la menaçais de l'enfermer à la cave ou j'avais emménagé un lit de camp, et ou je fermais à clé la porte blindée qui filtrait tous les bruits extérieurs. A chaque incartade, je l'attrapais fermement et fesai mine de l'emmener à la cave, ou je l'y laisserai attachée et enfermée pour une durée jamais définie. La peur de cette menace qui s'apparntait à une descente aux enfers était pour moi une source de motivation de dressage sans fin.

H. était une soumise timide, qui se soumettait plus par sentiment que par ferveur, j'avais plaisir àlui fixer des objectifs qui lui faisaient dépasser ses propres inhibitions. Venant de province, elle considérait les dessous féminins (bas, guepièren talons) comme des symboles de perversion. Quel plaisir de la contraindre à rentrer dans une boutique de lingerie fine aussi chic que chère et de ka forcer à demander à la vendeuse des bas nois avec porte guepierre et porte-jaretelle. Sa gène était visible, son trouble palpable, la honte du regard de la vendeuse qui signifiant : "vous êtes une perverse" . Elle en fabouillait presque, surtout lorsque d'un gest ebrusque, la jeune mais autoritaire vendeuse tirait violement le rideau de la cabine d'essayage (tel un viol) et que H. se retrouvait presque nue au milieu de la boutique, et parfaitement visible dee passants extérieus au travers de la vitrine.
Comme elle ne savait pas marcher avec des talons, je poussais le vice à demander à voix haute à la vendeuse si elle conanissant une école de danse qui dispense de telle lessons ou si une éducatrice pouvait s'en charger, je confiais alors Mlle H. aux bons soins de la patronne en lu irecommandant la plus ferme sévérité. En sortant, je lui ordonnais de rentrer dans une pharmacie tenue par une femme et de commander de la vaseline en demandant bien si c'était "efficace" pour satisfaire les envies de son mari. Le regard amusé de la pharmacienne lui fit compendre qu'elle avait deviné son utilisation.

P. aimait s'habiller très "femme" mais sans s'extraire du cercle privé. Je l'emmenai au bois et la forcais , jupe remontée sur ses cuisses, à sortir de voiture et à faire , sous la lumière des phares le tour du véhicule. Il fallait voir ses réiscences à descendre de voiture comme si elle abandonnait un havre d epaix et de sécurité pour affronter l ephantasme de milliers d'yeux rivés sur ses cuisses dénudées. Elle re-rentrait au bout de quelques secondes, haletante, angoisée et éxité de s'être ainsi virtuellement offerte aux autres. A force qu'elle prenne confiance, j'ai décidé à l'improviste d'avancer la voiture d'un bon ; paniqué d'être abandonnée, elle a couru vers la voiture et s'est précipité au bord des larmes, de s'être vue abandonnée à ses angoisses ; je la menacais alors d el'attacher à un arbre si elle ne s'éxibait pas seule, remontant sa jupe et découvrant ses cuisses à la vue de tous, ... Une fois rentrée, pendant qu eje garais la voiture, je l'obligeais à découvrir ses cuissses à la lumière des phares, angoissé à l'idée qu'une autre voiture ne rentre au même moment.

J'emmenais S.faire des courses et des essayages dans les grands magasins. Célibataire, autonome, indépendante, S. ne supportait pas d'être rabaissée au rang de femme objet.
En voiture, je lui attachais les mains, remontais sa jupe sur ses bas, et bandais les yeux puis lui mit de grandes lunette noires, pui j ebaissais sa vitre et demandais mon chemin aux passants afin qu'ils découvrent le spectacle d ecette femme soumise.
Je lui ordonnais donc de garder le silence absolu durant nos essayages, et décidais seul avec les vendeuses le stenues qu'elle devrait essyer. Lorsque la vendeuse lui demandait quelle taille faîtes-vous, S. fut tenté par reflexe de répondre, mais d'un regard , je lui intimais le rappel à l'ordre ; je la vis distinctement se mordre les lèvres, autant pour e souvenir de cette faute que pour refouler la frustration d'être privée de sa liberté d'expression et de cette nouvelle humiliation. Je dictais aux vendeurses les modèles, les tailles, échangais leur opinion su rles coloris sus l'attitude passive de S. réduite à l'objet de simple manequin. Je commandais aux vendeurse, passez-lui ceci, essayez-lui cela, comme j'aurais dit d'un meuble, intriguées puis amusées, les vendeuses jouaient le jeu, et j'envoyais la plus jeune vendeuse chercher une très large ceinture de cuir rouge avec des annaux dorés et la passer autour de la taille de S. qui devenais ainsi soumise à d'autres.
Je la fis habiller en bourgeoise chic et sexy, puis en cuir pour paraitre vulgaire, la fi smarcher avec des trè shaut talons, des bottes montantes. Je la vetis en adolescente ridiucule et  même petite fille sage avec des chaussettes blanches, pretextant une soirée déguisée et lui fis essayer des tailles trop petites (celle des jeunes vendeuses), ou les vendeuses se moquaient de ses rondeurs sans qu'elle ne puisse réclamer sa taille habituelle.
Dans l'ascenceur du parking, S. explosa sa fureur, et je la fessais sèchement d'un claque sonore sur sa jupe de cuir ; alors qu'au même moment, un homme élégant entra dans l'ascenceur et percut la fin du geste et surtout vit sur le visage de S. la rougeur de honte qu'il lit sans ses yeux presque en larmes.

Une fois, j'emmenais S. sans un restaurant en libre service où elle devait se présenter au buffet, les jambes tendues et se cambrer pour se servir des plats, exposant à tous les clients ses longues jambes et sa chute de reins. Elle assumais bien cet eexhibition alors je décisais d'enfoncer ses défenses, en partant , je lui prdonnait de saluer la patronne et de faire la révérence, geste parfaitement déplacé dans cet environnement professionnel. Bien qu etrè sréticente, elle finit par s'incliner, jambes croisées , présentant ses respects devant cette femme matronne.

S. était une grande nerveuse, et ne pouvait s'empecher de fumer et d'agiter sa cheville d'un léger tremblement losqu'elle croisant les jambes. Je fixais la règle qu'elle devait demande rla permission de fumer avant de prendre son paquet de cigarettes de son sac. Cette habitude de fumer était devenue instinctive et orrisistible, au point qu'elle oubliait systématiquement d edemande rla permission. Je lui demansais alors très poliment de me tendre sa cigarette qu ej'éteignais soigneisement devant elle. Je confisquais alors son paquet en attendant qu'elle présente ses excuses et s'engage à respecter les ordres ; sacnaht qu'lle ne pourrait probablemnt pas s'en passer. Parfois je rfusais d elui accorder le droit de fumer et je voyais alors ses joues de contracter sous l'effet d'un stress intérieur que lui demandait l'effort d erennocer à son autonomie.
Lorsque sa cheville reprenait son tremblement, je la rappelai sèchement à l'ordre surtout dans le slieux publics, et lui donnais une tape sèche sur le haut de la cuisse. Consiente qu ses reflêxes lui échapaient, elle savait que ce tic reprendrait et qu'elle ne pouvait pas s'en empecher malgré sa volonté de suivre les instructions de sa déendance. J'avais plaisir à lui rappeler publiquement de stopper ce tic nerveux; chaque remarque publque la marquait comme un coup d ecravache sur le creux des reins et elle savait qu'elle ne pouvait pas y mettre fin.

A.acceptait la soumission privée mais ne pouvait accepter le regard public. Après qu'elle aie manqué de respect, je la fis habillé à mon gout et l'emmenais dans un grand restaurant ou je demandais une table isolée. Rassurée par cette intimitée elle assuma bien son rôle de soumise, je lui demandai salors d'enlever sa culotte et de le ma donner sous la table. Je commencais alors à lui rappelelr ses fautes et la menacais d'une sévère punition, une fois rentrée qu'elle semblait accepter avec résignation. Pendant que le jeune maitre d'hotel serve et débarasse, je continuais sans m'interrompre à la menacer des sévères punitions qu'elle allait recevoir. Angoissée à l'idée que l'on puisse nous entendre, je voyais ses yeux  affollés l agêne d'une telle confession publique, et le regard coupable qu'elle n'osait plus adresser au serveur. A chaque service, j el emenaàais publiuement de fessée, déculottée, du fouet, et je jouais machinalement avec sa petite culotte comme s'il s'agissait d'une serviette de table sous son regard mortifié. En partant, elle baissa les yeux sous le regard amusé du serveur qui ajouta, bonne fin de soirée alors qu'il savait pertinement qu'elle allait être fessée.

C. aimait à rêver des menaces et sanctions que je murmurai sà son oreille. Aprè sl'avoir fait revetir de cuir, je lui badais les yeux et lui attachait les mains. Enfin je lui écartais les jambes et les attachaient très écartés sur un baton rigide. Je lui expliquais alor squ ej'alais la droguer et l'expédier dasn un pay sarabe ou elle serait vendue comme exclage, je lui rappelais qu eles acheteurs allaient venir dans la nuit , raison pou rlaquelle je l'avais attachés afin qu'ils puissent la "visiter" et l'emporter avec eux. Je mis la télé et la radio pour remplir d ebruit d evoir les chambres attenantes, et je l'éloignais pour faire appuyer sur la sonntte d ela porte d'entrée. Je dis à voix haute, entrez, elel est prête, vous pouvez l'essayer et l'emmener pour le prix habituel, je changais de voix et me mis à parler arabe. Je rentrais dans la chambre et la caresais vrutalement la main revetue d'un gant de cuir, elle sursauta sous le contact glacé. ils demandèrent : elle est excisée" pas encore, mais une mama afrinaine va venir l'opérer avant de prendre le bateau, nous la baillonerons pour étouffer ses cris. Je vois C. se débattre pour échaper à ce cauchemar, j'en rajoute, prend une vois de femme , fai sdes commentaires graveleux sur ses cuises ouvertes, ses ces femmes occidentales impudiques qui ne connaissen pas le respect et qu'i lfaudre dresser par le fouet. Je confirme qu ela vente ets faite et qu'ils vont l'emmener dans une malle. Elle manique, se débat, je dois resserer le baillon, peut-être vont-ils l'exiser immédiatement, je suis chargé d ela maintenir tranquille pendant l'opérations, la terreur l'envahit et je la délibre au bord de larmes et de l'orgasme

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