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Pulsion pour la Fessée

24 janvier 2008

Le dejeuner des banquiers, S offerte en dedommgement

S. a ete charges par le DAF de fermer un noñbre important de comptes banquaires utilises regulierement par notre societe pour gerer sa forte croissance.

Jouant la concurrence d'une agence a l'autre ainsi que se son charme de seduction ; S avait atteint les objectifs fixes par son patron quand la laison mere avait brutalement deciderde cloturer tousles comptes bancaires locaux au profit du financement interne.

Chargee d'annoncer ce revirement aupres des courtiers, S , a la demande de son ptron, a organise un dejeuner d'affaire dans les salons prives d'un restaurant renommea l'ambiance feutree.

Presente au dejeuner, habillee avec soin, S laisse ason Dirscteur le soin d'expliquer les revirements de sa strategie et conclue que si certains ont cru aux promesses de S ou ont ete sensibls a ses charmes, ellene peut qu'en porter ses propres responsabilites.

A ces mots, le Directeur se retire et abndonne S a la vindicte des directeurs frustres de s'etre ainsi faits manipules. S reste muette et mortifiee par la lachete et l'abandon dans leauel l'a lachement abandonne son mentor.

Les discussions vont bon train et bientòt les insultes pleuvent "catin, voleuse, aale petite menteuse, elle merite une bonne lesson ¡". Sachant aue toute resistance est inutile, S se courbe docileñent sur la nappe blanche immaculee et retrousse docilement les pans de sa jupe fendue. Elle se felicite interieurement d'avoir  choisi des dessous elegants pour cette punition collective et humiliants.

Sest effrayee d'etre fessee ubliauement dans ce restaurant public,mais une remarque fuse "on entend rien ici", et elle comprend aue son patron a organise cette sceance humiliante en la sacrifiant a ses interets.

Les claques commencent a pleuvoir sur les fesses aui rougissent rapidement , et S ne eut retenir longtemps ses gemissements, tandis que les plus frustresclment : "payons-nous sur la bête ; prenons de force ce qu'elle nous a promis par ruse" et soudinement elle sent un sexe brulant forcer ses reins. Puis les banquiers devenus fous de frustration se defuolent les uns apres les autres au creux de ses reins.

Face a S durant le dejeuner, restant silencieuse pendant que la meute hurlait, une femme fort elegante regarde S d'un sourrire amusee. Elle attend la fin du defoulement collectif pour reprendre le flambeau de l'humiliation enduree par S et sait aue ces viols repetes ne penetrent pas le mental de S .

Les hommes repus , cette femme propose aux banquiers de s'occuper personnelement de S et de vengeur leurs interets. N'attendant plus rien en retour, les hommes acceptent et confient a leur seule collegue feminine le soin de reformer le comportement de S.

La banquiere entraine alors S dans un cabinet prive attenant et la nettoie doucement de ses souillures, elle lui murmure qu'elle a bien merite cette severe lesson par son attitude ambigue fort peu professionnelle et qu'elle a egalement perdu gros dans la rupure subite de ce contrat.

S comprend alors que son calvaire n'est pas termine et s'interroge en attendant sur les intentions de cette maitresse femme.

Sa maitresse exige de S qu'elle ouvre grand sa bouche et lui bloque les dents ecartees par un batonnet de bois qu'elle lui fixe de chaque cote. Ainsi la bouche ecartelee, S ne peut ni repondre , ni crier et ressent une grqnde honte a baver sur le cote sans la moindre tenue.

Sa maitresse demande alors a S de s'allonger sur le dos , et enjambe la tête de S en placant ses jambes de chaque cote de son visage. S voit de chaque cote les hautes talons de ses escarpins dont elle craint au'elle ne la blesse. "Ne bougez pas" ordonne  sa maitresse, qui s'abaisse lentement sur le visage de S qui decouvre alors qu'elle ne porte pas de dessous.

Ta punissions ne sera pas violente, ni marquante dans tes chairs, mais humiliante, dont tu garderas longtemps le gout en bouche lui promet sa maitresse soudain d'une voix tres ferme ; contrastant avec la douceur precedente.

Horrifiee, S voit descendre sur sa bouche ecartelee, sa maitresse prend alors une grande aspiration et l'horreur se peint sur les traits de S lors qu'elle decouvre le gout de sa punition. Incapable de tourner la tête bloquee par les escarpins de sa maitresse, la bouche grande ouvert, elle ne peut pas se soustraire a cette humiliation qui la penetre et la revulse a fond de son ame.

Une fois soulagee,sa Maitresse lui rapelle ses engagements de reparer les fautes commises et les promesses non tenues, sinon, elle saura a tout moment ou trouver un "pot de chambre" docile et disponible.

Soumise et vaincue, S est alors affectee au service personnel de sa nouvelle maitresse qui la dresse chaque jour a satisfaire les desirs de ses banquiers frustres tout en accomplissant sesfonctions hygieniques

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24 janvier 2008

Ceremonie du the et initiation au service domestique

La voisine de mon emfance ets une femme mure au caractere entier. Cette femme fort elegante,toujours tres appretee est d'un avis sur sur mes nouvelles recrues afin de parfaire leur education de "novices".

J'ai prvenu S. que nosu etions invites et attendus chez cette femme afin dy etre presentee ofciciellement. Sur mes strictes recommandations, S a revetu des dessous choisis, une robe tailleur noire et d'elegants escqapins de daim assortis a haut talons.

Febrile avant de sonner a la porte, je rappelle a S. les regles de stricte obeissance et d'un parfait maintien digne de son education. A peine la porte ouverte, je pousse S. en avant, manquant de lafaire trebucher afin de la destabiliser des son premier rapport avec Madame.

Madame me recoit fort chaleureusement, et lance aS. un regard inquisiteur tout enla detaillantlonguement de la tête chapeautee, aux talons.

Avant de se desabiller, Madame lance A S. "Gardez vos guants ; vous ferez le service du the". Ainsi, S se retrouve partiellement habillee de ses gants de cuir en chevreau , les jambes croisees sur le canape.

Madame explique quelle a donne conge ases domestiques et me demande si cela ne me derange pas que S. fassele service. S est troublee que l'on ne lui pose meme pas la question, comme si son avis n'avait pas d'importance ; d'etre reduite ainsi a l'etat d'objet domestique.

"Vous allez servir le the", proclame Madame , tandis que S se leve vivement a cet ordre et lisse sa jupe comme on lui a appris. Madame ajoute alors "Mettez le tablier blanc pour le service; ainsi que le diademe" et S doit alors porter cet acoutrement de domestique pour faire le service.

Madame previent clairement S que chaque goutte de the sur la table en verre sera severement punie, mais S est anticapee parle port des gants de cuir qui rendent ses mouvements incertains, et renverse ineluctablement le precieux liquide.

Madame interromp alos immediatement le service et prie S de s'qgenouiller sur le fauteuil de cuir face a elle, elle medemande mon accord et prend de placard une longue cravache de cuir noir.

"Veuillez relever votre jupe ; je vous prie" intime alors Madamea cette pauvre S qui se sent trqie et humiliee de cette ceremonie. Les premiers coups sont fermes et font tressaillie S qui decouvre horiffies les longues traces rouges sur ses cuisses dans la glace qui fait face au fauteuil. Elle appercoit tous les acteurs du salon et comprend que lq disposition du salon est dediee aux punitions.

Madame me prie alors de lui laissr S le WE en raison des conges de son personnel et de ses receptions prochaines qui necessitent une aide domestique mais mieux eduaquee remaraue-t-elle a l'egard de S.

Madame entraine S dans la chambre de bonne ou elle l'attache aux montants des baraux du lit et lui releve les jambes, tu dois être ecartee pour servir mes invites lui dit-elle en glissant un Olibos au creux de ses reins, tu verras, tu t'y habitueras avec le temps, et elle lui attache fermement le god par une large ceinture de chastete.

Le lendemain matin, Madame emmenne S au marche apres l'avoir reveru d'une tenue fetiche, avec une jupe luisante en sky noire qui attire tous les regards des passants.

S est alors informee qu'elle serviva le repqs des invites avec ce god sous sa jupe serree ; et aua lamoindre incartade devant ses invites, elle recevra un piment dans son fondement et aue ses joues ne pourront retenir ses larmes tant la brulure envahira sa delicate intimitee.

S sera alors humiliee par les invites de Madame aui la coucheront sur la table durant le diner pour decouvrir les dessous, les maraues de fouet et reclameront sous des pretxtes de fautes la pose du piment promis.

24 janvier 2008

Voilee sous la Bourka

S. doit defiler ce soir devant leshommes de la tribue des berberes. Elle est sure de sa beaute et de seduire le chef du clan qui la liberera de son status d'esclave.

Toute la journee, S. est preparee par les femmes de la tribue, douchee, lavee, et maquillees avec soin, elle aime a se voir ainsi devant la glace.

Elle revet ensuite les apparats de la seduction avec des dessous a paillette desdes colliers et bracelets d'or ; avec lesauels elle est sure d?attirer le regard des puissants.

Avant de sortir de la tente des femmes, sa maitresse lui lui apporte un longue robe, S. señble etonne ; ell epensait defiler et danser de maniere denudee. Mais sa maitresse lui rqppelleles regles de bienscence du pays auquel elle doit se conformer en tant qu' etrangere et lui intime l'ordre de revetir  cette Bourka qui la couvre juqu'au pieds et cache son visqge soigneusement maquille sous une grille opaque.

Avant de sortir, sa Maitresse lui enfile des escqrpins a haut talons mais lui relie les chevilles par des chaines de metal tres serrees . S comprend alors que sa beaute sera desormais invisible mais egalement qu'elle ne pourra pas dancer devant le cheick ; ses chevilles entravees, ses pieds chausses d'escarpins s'enfoncant dans le sable mou du desert.

Sa Maitresse lui rappelle alors que les sultannes n'ayant pas seduit le prince seront severement fouettees, principalement celles qui danceront sans grace.

Sa Maitresse entreine alors Shorddela tente et la promene dans la ville arabe, exhibee et invisible a la fois, comme un fantome privee se son corps et de sa beaute. Cette experience trouble profondement S qui pour la premiere fois n'attire plus les regards des hommes ; devenant ainsi invisible .

23 janvier 2008

Escarpins d'eau : reserves aux sceances de SPA

Sz a ete invitee par sa maitresse a une sceance de SPA, officiellement de detente.

Comme la regle lui interdit de marcher nu pied, elle est curieuse de savoir comment de comporter surtout aue la veille encore, elle a ete severement corrigee et en porte encore les traces sur les fesses et les cuisses.

Elle decouvre alors aue sa maitresse lui a reserve un surprise , des escarpins plastifies et etanches , qui lui permettent alors de descendre aux soins vetue de ses eternels hauts talons.

Sz sourit devant cette marque supplementaire de soumission dans laquelle elle se trouve et descend fierement dans les bains tiedes chaussee de ses escarpins.

Le contact de l'eau tiede sur ses pieds chausses lui rappelle son status d'objet et de femme soumise aux regles strictes du Dress Code aui regit desormqis son corps et aussi son esprit.

Fierement cambree sous la douche, juchee sur ses escarpins, elle tourne le dos au bassin, mais elle entend distinctement les remarques et les colibets sur les traces rouges qu'a laisse le fouet et aue l'eau chaude a ravive.

Elle est fiere de ses marques

3 août 2007

S. doit a son tour dresser une jeune soumise

Pour prouver son engagement auprès des N. et de sa maitrese Karine, S. soit désormais corriger et dresser uen jeune prisonniére.

Il ne s agit pas d´une combatante mais de l apropre fille de celle aui l´a jadis dénoncé.

Souhaitant s´acauiter de sa vengence, S. décide de punir sévèrement celle par qui son calvaire est arrivé.

Ferme menace tout bas, tr`s proche de sa bouche, presque intimement.

Gifle sèche pour calmer ses pleurs, sinon les coups seront a la hauteur des cris

Reprise de la correction , plus sévère, jusqu´a la limite du supportable

Vient ensuite la prise des mesures pour elargir la jeune soumise , et la sceance de lavement pour poser les embouts de dilatation.

Pour porter des hautes talons dès son plus jeune age, la jeune soumise devra avoir les deux pieds casses sous la voute plantaire, cete scéance de rééducation très douloureuse est irreversible, et jamais elle ne pourra remarcher normalement. Ses pieds attachés sont placés sur une machine a cambrure aui deforme la voute a la forme des hauts talons désormais imposés.

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3 août 2007

Le cours de Danse

Ecole de danse classique

Apres les cours, certaines danseuses sont collées en retenue

Attente exité dans la salle d´attente, en silence mesdemoiselles, Ambiance exitée voire survolté des élèves

Entré dans le bureau privé, exercice de faire la reverence, si la position n´est pas parfaite, correction immediate

L´elève doit garder la position en silence, sinon, la correction recommence depuis le début, presaue impossible a supporter, c´est pourauoi, certaines demandent a etre attachés , quitte a etre plus sévèrement punies,

31 juillet 2007

S. arretée puis interogée par les N.

S. est une jeune femme qui s´est portée volontaire dans la resistance contre l´occupant.

Ce triste jour de décembre, elle est tombée dans une embuscqde et tr´s probqblemnt trahie par une autre femme de son reseau , rendue jalouse par son pouvoir de séduction sur les hommes.

Cette trahison renforce léffondrement de K. aui sait son arrestatuion dus aux siens.

Ce jour, S devait rencontrer un officier ennemi et sétait donc habillé en seductrice avec une jupe de cuir et des hauts talons de daim noirs

Aussitot arreté, elle est poussé dans un grande voiture noire des services de police et lá, brusauement, les  deux agents qui léntourent lui ecartent les cuisses en lui intiççant l´ordre e ne pas serrer les jambes. Cette brusque humiliaton destabilise d´avantage S. qui sent alors monter l´angoisse de l´inconnu de cette situation tant redoutée.

Salle bien decoree

Allongees sur table genycologique

Karine , son educatrice, lui explique patiemmemt les regles de l´interrogation

Syndrome de Stockolm : S. a été dénoncée par la resistance, et sera punie et interrogé pour cela, mais les experts des N. assurent aue si la punition est assez sévère, alors, S. finira par rejoindre le camps des N.

Le Général des N. lui Enleve alors délicatement ses escarpins ,

Karine s´approche alors de lóreille de S. et lui murmure qu´elle sera interrogée malgré la présence voisine d´inspecteurs de lq croix-rouge, car ses infrmations ne peuvet attendre leur départ.

K. pose alors doucement ses mains gant´s de cuir rouge sur la bouche de S. et lui couvre entierement les levres , puis elle indiaue alors au général que l´interrogatoire peut commencer. Le G. fouette violement la plante du pied qui declenche chez S. en cri de douleur vite etouffé par la main ferme de K.

Puis le général annonce au´il va fouetter a présent l´autre pied, à cette nouvelle, S. manifeste un instant de pqniaue, aue lq main de K. etouffe le g2missement tandis que ses douces paroles essqient de lq calmer.

Le G. dechausse a present l´autr epied, la jambe de S. se tend d´anxuiéte, tandis aue K. lui çurçure a l´oreille des mots d´encouragements ; alos le second coup toçbe, plus fort, plus sec et brulant aue le premier , les larmes coulent sur les joues de S., vite qss2ch2es pqr une rqpide cqresse de sq mqitresse K.

Dressage canin, prix déducqtion, défilé des plus bequx speciçens

S. prépqre un cri de résistqnce, mqis K., au dernier moment, lui rappelle aue d´apres lel reglement, tous les animaux déxposition doivent porter une çuselie, et sous le regqrd ebqhi de S. K. sort une çuseliere de cuir et l´oblige a la passer autour de sa bouche. Horrifiee, S. decouvre que sa museliere est pourvue d´un baillon penien, qui lui remplit la bouche, empechant tout cri. Sa maitresse ironise alors au´elle pourra juste grogner un un animal docile.

S. enchaine,defile devant l´assistance au çilieu de chiens et chats de coucours, et doit sur comande prendre des poses animales, a pattes

A l´annonce du resultat, stupefaction, S. est seconde, mais derriere un berger allemand, aue le regime au pouvoir a exiger de voir figurer en tete. K. est revie de la performance de sa championne et felicite le maitre du chien gagnant. Puis en faisant reference a la doctrine enjoignant a tous les  corps purs du reich de se reproduire au service de la nation, elle propose au maitre du chien de proceder a une saillie avec sa championne.

S. doit alors se mettre en position canine, mais K. lui rqppelle au´elle serq prise et par le maitre et par le chein, mais chacun par un orifice different pour conserver la race de l´éspece. Le chien ne pouvant la sodoçiser , S. comprend aue le gros maitre la prendre brutalement par derierre.

Garrot : K. pose un large collier de cuir autour du cou de S. cela qfin de la proteger lors  ´interrogatoire au garrot.

Seins percés par le chirurgien, durcis au glacon, enchainé par chaine de cou autour de tetons,

Lavement, plug, puis traverses la salle d´interrogatoire

Dressage de la jeune orpheline

6 décembre 2006

Dressé par N & S

J'ai demandé à N. et S. de ma dresser ce soir ; ces deux collègues féminines assument des postes à responsabilité et j'aime sentir leur gout du pouvoir et leur rivalité professionnelles à mon égard.
Autant N est brune et typée, autant S est une bourgeoise blonde et froide, mais sachant s'habiller avec un gout certain qui oscille entre classe et sexy.
Parfois N. s'habille avec un tailleur strict et sexy, chaussée de talons fins, qu'elle appelle son "déguisement"

Je leur ai demandé de me dresser  lors d'une soiré au caveau, il a été décidé que N., la plus charismatique,  me fouetterait sévèrement ; laisssant S. décider de la fin de mon supplice en m'offrant ses hautes bottes de cuir noir à embrasser en geste de soumission.

Je sais, que plus jamais, elles ne me regarderont professionnellement, et que dans leurs yeux, je lirai toujours l'humiliation de m'avoir fouetté et soumis. Je sais même qu'elle ont fait quelques confidences à leurs collègues féminines, et j'entends déjà certains ricanement portant sur la rougeur de mes fesses et mes gémissement au suplice.

N. m'ordonne de la suivre au caveau et m'attache fermement sur la croix, sous le regard de S, elle saisit un fouet aux longues lanières et sans autres préliminaires, me cingle les fesses sur un regard appuyé de S.
S. fait signe de la tête de continuer à me fesser sans discountinuer, N. s'éxécute, bien que surprise par la violence des coups exigés par S. Appeurée par la violence des coups, N. suspend la punition et S. vient appliquer sa main gantée de cuir noir sur les fesses rouges, mais répond, je ne sens rien, fais les chauffer au rouge. Alors la punition reprend, tandis que S ressent un plaisir à ma douleur.

Au bord des larmes, S. suspend la punition et me demande si je suis définitivement puni et dressé de mes agressions à son encontre, de mes reflexions salaces qu'elle ne supporte plus. Elle me demande de lui prouver ma soumission en me présentant ses hautes bottes à talons que je dois embrasser à genous.

Elle convoque alors N. et lui annonce que désormais elle devra s'habiller en tailleur et hauts talons tous les jours. S. sait à quel point je suis ému lorsque N. s'habille en chic & sexy même si celle ci considère ses baskets plus confortable.

S. lui fait clairement comprendre que si elle ne s'habille pas conformément à ses instructions, ce sera elle la prochaine punie attachée sur la croix et fouettée publiquement. Sous cette menace, souvent répétée, N. s'éxécute et s'affiche désormais en tailleur stricte. Parfois S. exige de la voir marcher sur de stalons de 10 cm ; N; pretexte alors qu'elle ne sait pas marcher avec, mais S lui rappelle sa terrible menace de lui apprendre à coups de cravache, et alors, soumise, N. s'éxécute docilement.

6 décembre 2006

Sondage "Sexy" dans la rue

J'ai toujours voulu, sans jamais l'oser, réaliser un faux sondage sur la voix publique, poser des question faussement anodines sur la mode féminine aux passantes duement choisies.

J'avais plusieurs fois réalisé mon questionnaire, sur linsting informatique ; et même réalisé un faux badge de sondeur public.

Je me postais alors à un croisement ou se bousculent les secrétaires sur le chemin du travail, ST Lazare, La Defense, L'opéra ...

Je choisissais systématiquement des femme de 30 à 40 ans, parfois plus jeunes, habillées avec gout , et je leur mandiais 10 mn de leur temps pour secourir un sondeur en peine de résultats.

Les questions commencaient d'une manière très générale : Vous ne travaillez pas dans la mode, ni le marketing, Vous avec de 20 à 40 ans, ... puis les questions se précisaient.

Savez vous que la mode de cet hiver est aux bottes, aux talons, . qu'en pensez-vous ?

La trouvez-vous sexy, y prenez vous plaisir ?
Portez-vous des haut talon pour ; travailler, Sortir, séduire,
Avec quelle tenue : Tailleur classique, Pantalon, Jupe courte

Puis des questions sur leur rapport aux vetements de séduction :
Avec des dessous sexy, vous sentez-vous plus désirables
En portez-vous même sans relation amoureuse

Enfin, venaient la phase des visuels ou je présentais des jeune filles très sexy

Trouvez-vous ces communications :
Sexy et alléchantes
Vulgaires et agressives

Que ressentez-vous face à ce simages, du désir,

Enfin, pour les plus exitées par ces question strès indiscrètes, je précisai que j'avais une seconde enquêt eà réaliser poru Sonia RIkielle, sur les nouveaux Sex Toys et leurs rapport au objets de plaisir

Avez-vous déjà visite un sex chop
Oui avec 1 ami, Avec des amies,
Déjà acheté personnelement, en boutique, sur Internet
Déjà visité un magasin de Sex Toys Chic, acheté,
Leur opinion sur les nouveaux accéssoires de plaisir féminins , entre convoitise et honte.
Ont-elles déjà acheté/utilisé un vibrant

Sous des allures rassurantes, je jouissais de poser les questions les + indiscrètes pour les entendre avouer leurs désirs et leurs phantasmes.

1 juin 2006

Soirée initiatique avec K., le jour d’après

Ce matin en me réveillant, je ressentais une immense fatigue, l’excitation, les peurs, les tensions de la veille m’avait exténué. Toute la journée mes seins endoloris m'ont rappelé la sensation des pinces qui m'ont tant supplicié durant ma punition.

Je repensais, en caressant mes fesses encore endolories, à ces scènes intenses ou la peur le disputait à l’excitation, ou K. reposait à chaque volée de martinet les limites de ma résistance et de mon abandon.

J’avais imaginé que K. prenne du plaisir à fouetter violement le corps des hommes, mais j’ai été heureux de sentir combien ces gestes violents l’excitaient, et comment elle savait calmer et fesser alternativement.

Arrivé à la limite du supportable, elle m’a ordonné alors sèchement de me taire face aux spectateurs qui nous observaient, et de subir encore et encore. Ces parole violentes et sèches m’ont transpercé alors que j’avais déjà dépassé les limites du supportable ; et que je sentais la douleur l’emporter sur l’excitation.

Attaché, impuissant, sans pouvoir arrêter sa furie, je me sentais abandonné enter ses mains violentes et savais que rien n’arrêterait l’excitation de ses fessées.

Tout avait pourtant commencé avec calme et volupté, sa tenue fétichiste me troublait par l’odeur du cuir, ses hautes bottes à talon lui donnait une allure altière. Je lui fis lire le scénario que j’avais imaginé pour cette soirée initiatique et K. s’inquiétait de manquer d’expérience face à mes attentes.

Arrivés les premiers, nous avons profité du club en exclusivité ainsi que des conseils du Maitre des lieux sur les fouets marquant et sonores ; une visite des lieux  nous a replongé dans l’ambiance des rêves et des châteaux, des supplices et des sévices.

Soudainement, K. m’a signifié d’aller me changer et de l’habiller en soumise. « On y va » me dit-elle soudain, mettant ainsi fin à cette complicité d’aventuriers pour revêtir  respectivement nos rôles attitrés.

Assise au bar, elle me reçût à ses genoux et m’exhiba à genoux dans le club.

Armée des fouets du plus doux au plus cruel, elle m’entraina dans la salle des supplices et me fit agenouiller sur le chevalet de punitions.

Très tendrement, K. écarte mes cuisses, et remonte ma jupe sur mes fesses, tout en caressant légèrement mon entre jambe, comme on flatte un jeune cheval.

Ses très lentes caresses, ses hésitations, ses mots encourageants m’ont doucement amené au plaisir, alimenté par de douces caresses des lanières de Velours, de cuir et de latex.

Schlag , Puis soudainement, sans avertissement, le coup part, fort, un bruit assourdissant emplit les oreilles et résonne sur mes fesses, je me relève brusquement plus par  peur que par réelle douleur, alors, elle me prend tendrement dans ses mains gantés de cuir et me cajole comme un enfant . Puis , une fois un peu calmé, elle m’appuis fermement sur le dos afin de me faire reprendre ma positions de soumise, je sais alors que la punition va reprendre et j’attends avec fébrilité le coup suivant. Schlag, plus fort encore, ce coup me relève de ma position mais soudain, sans prendre le temps de me calmer, K. me maintient courbée et enchaine les punitions qui s’abattent alors sans discontinuer.

Plus tard, attaché sur la croix, immobilisé, les jambes écartées sur mes haut talons, K. empoigne alors le Slapper à larges lanières de cuir, et l’abat sèchement sur mes fesses, la douleur est très vive, attaché solidement, je ne peux empêcher les coups de s’abattre jusqu’à ce que la peu l’emporte la panique devant cette furie qui cingle mes cuisses sans discontinuer et qui ne s’arrête plus sous mes suppliques. Sèchement, elle m’ordonne alors de me taire et de subis encore et encore. Si elle n’avait pas arrêté, je crois que j’aurais pleuré et me serai abandonné sous la punition, ayant dépassé ma capacité à supporter la douleur, je me serais abandonnés sous sa volonté et aurait succombé dans ses bras.

Sentant mon envie d’être prise, comme une soubrette, K. m’a fait allonger sur le lit de cuir, bras et jambes attachés aux sangles, puis a remonté ma jupe et écarté ma ceinture de cuir sanglés entre mes cuisses. Tenant fermement le God entre ses mains, elle a enduit de sa salive le fondement de mes désirs, la voir prendre cette salive de sa bouche pour humecter mes fesses m’a instinctivement fait ressentir une violence masculine,.

Les jambes écartées, je voyais mes haut talons danser sous ses coup de boutoir qui enfonçaient à chaque élan le God entre mes cuises offertes. J’aurais voulu qu’elle enfile un véritable god ceinture, double, et qu’elle ressente l’excitation de s’enfoncer dans ce lieu défendu, de ressentir toute l’excitation de la pénétration, sa violence, son pouvoir de pénétrer l’autre, comme de l’enfiler comme une épée.

Rentré chez moi, j’ai ressorti mes tenues et mes jouets et je me suis fait jouir en cravachant mes fesses, le plug vibrant entre mes fesses ; au réveil , encore tout excité, j’ai recommencé.

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