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Pulsion pour la Fessée
1 juin 2006

Soirée initiatique avec K., le jour d’après

Ce matin en me réveillant, je ressentais une immense fatigue, l’excitation, les peurs, les tensions de la veille m’avait exténué. Toute la journée mes seins endoloris m'ont rappelé la sensation des pinces qui m'ont tant supplicié durant ma punition.

Je repensais, en caressant mes fesses encore endolories, à ces scènes intenses ou la peur le disputait à l’excitation, ou K. reposait à chaque volée de martinet les limites de ma résistance et de mon abandon.

J’avais imaginé que K. prenne du plaisir à fouetter violement le corps des hommes, mais j’ai été heureux de sentir combien ces gestes violents l’excitaient, et comment elle savait calmer et fesser alternativement.

Arrivé à la limite du supportable, elle m’a ordonné alors sèchement de me taire face aux spectateurs qui nous observaient, et de subir encore et encore. Ces parole violentes et sèches m’ont transpercé alors que j’avais déjà dépassé les limites du supportable ; et que je sentais la douleur l’emporter sur l’excitation.

Attaché, impuissant, sans pouvoir arrêter sa furie, je me sentais abandonné enter ses mains violentes et savais que rien n’arrêterait l’excitation de ses fessées.

Tout avait pourtant commencé avec calme et volupté, sa tenue fétichiste me troublait par l’odeur du cuir, ses hautes bottes à talon lui donnait une allure altière. Je lui fis lire le scénario que j’avais imaginé pour cette soirée initiatique et K. s’inquiétait de manquer d’expérience face à mes attentes.

Arrivés les premiers, nous avons profité du club en exclusivité ainsi que des conseils du Maitre des lieux sur les fouets marquant et sonores ; une visite des lieux  nous a replongé dans l’ambiance des rêves et des châteaux, des supplices et des sévices.

Soudainement, K. m’a signifié d’aller me changer et de l’habiller en soumise. « On y va » me dit-elle soudain, mettant ainsi fin à cette complicité d’aventuriers pour revêtir  respectivement nos rôles attitrés.

Assise au bar, elle me reçût à ses genoux et m’exhiba à genoux dans le club.

Armée des fouets du plus doux au plus cruel, elle m’entraina dans la salle des supplices et me fit agenouiller sur le chevalet de punitions.

Très tendrement, K. écarte mes cuisses, et remonte ma jupe sur mes fesses, tout en caressant légèrement mon entre jambe, comme on flatte un jeune cheval.

Ses très lentes caresses, ses hésitations, ses mots encourageants m’ont doucement amené au plaisir, alimenté par de douces caresses des lanières de Velours, de cuir et de latex.

Schlag , Puis soudainement, sans avertissement, le coup part, fort, un bruit assourdissant emplit les oreilles et résonne sur mes fesses, je me relève brusquement plus par  peur que par réelle douleur, alors, elle me prend tendrement dans ses mains gantés de cuir et me cajole comme un enfant . Puis , une fois un peu calmé, elle m’appuis fermement sur le dos afin de me faire reprendre ma positions de soumise, je sais alors que la punition va reprendre et j’attends avec fébrilité le coup suivant. Schlag, plus fort encore, ce coup me relève de ma position mais soudain, sans prendre le temps de me calmer, K. me maintient courbée et enchaine les punitions qui s’abattent alors sans discontinuer.

Plus tard, attaché sur la croix, immobilisé, les jambes écartées sur mes haut talons, K. empoigne alors le Slapper à larges lanières de cuir, et l’abat sèchement sur mes fesses, la douleur est très vive, attaché solidement, je ne peux empêcher les coups de s’abattre jusqu’à ce que la peu l’emporte la panique devant cette furie qui cingle mes cuisses sans discontinuer et qui ne s’arrête plus sous mes suppliques. Sèchement, elle m’ordonne alors de me taire et de subis encore et encore. Si elle n’avait pas arrêté, je crois que j’aurais pleuré et me serai abandonné sous la punition, ayant dépassé ma capacité à supporter la douleur, je me serais abandonnés sous sa volonté et aurait succombé dans ses bras.

Sentant mon envie d’être prise, comme une soubrette, K. m’a fait allonger sur le lit de cuir, bras et jambes attachés aux sangles, puis a remonté ma jupe et écarté ma ceinture de cuir sanglés entre mes cuisses. Tenant fermement le God entre ses mains, elle a enduit de sa salive le fondement de mes désirs, la voir prendre cette salive de sa bouche pour humecter mes fesses m’a instinctivement fait ressentir une violence masculine,.

Les jambes écartées, je voyais mes haut talons danser sous ses coup de boutoir qui enfonçaient à chaque élan le God entre mes cuises offertes. J’aurais voulu qu’elle enfile un véritable god ceinture, double, et qu’elle ressente l’excitation de s’enfoncer dans ce lieu défendu, de ressentir toute l’excitation de la pénétration, sa violence, son pouvoir de pénétrer l’autre, comme de l’enfiler comme une épée.

Rentré chez moi, j’ai ressorti mes tenues et mes jouets et je me suis fait jouir en cravachant mes fesses, le plug vibrant entre mes fesses ; au réveil , encore tout excité, j’ai recommencé.

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Commentaires
P
Cela vous direz une fessée en duo avec un jeune homme bien comme il faut qui ne cherche qu'à avoir de nouvelles expériences?<br /> Si oui contactez moi sur mon blog.<br /> En espérant rapidement de vos nouvelles.<br /> Bien à vous.Pyjaman.
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