Le dejeuner des banquiers, S offerte en dedommgement
S. a ete charges par le DAF de fermer un noñbre important de comptes banquaires utilises regulierement par notre societe pour gerer sa forte croissance.
Jouant la concurrence d'une agence a l'autre ainsi que se son charme de seduction ; S avait atteint les objectifs fixes par son patron quand la laison mere avait brutalement deciderde cloturer tousles comptes bancaires locaux au profit du financement interne.
Chargee d'annoncer ce revirement aupres des courtiers, S , a la demande de son ptron, a organise un dejeuner d'affaire dans les salons prives d'un restaurant renommea l'ambiance feutree.
Presente au dejeuner, habillee avec soin, S laisse ason Dirscteur le soin d'expliquer les revirements de sa strategie et conclue que si certains ont cru aux promesses de S ou ont ete sensibls a ses charmes, ellene peut qu'en porter ses propres responsabilites.
A ces mots, le Directeur se retire et abndonne S a la vindicte des directeurs frustres de s'etre ainsi faits manipules. S reste muette et mortifiee par la lachete et l'abandon dans leauel l'a lachement abandonne son mentor.
Les discussions vont bon train et bientòt les insultes pleuvent "catin, voleuse, aale petite menteuse, elle merite une bonne lesson ¡". Sachant aue toute resistance est inutile, S se courbe docileñent sur la nappe blanche immaculee et retrousse docilement les pans de sa jupe fendue. Elle se felicite interieurement d'avoir choisi des dessous elegants pour cette punition collective et humiliants.
Sest effrayee d'etre fessee ubliauement dans ce restaurant public,mais une remarque fuse "on entend rien ici", et elle comprend aue son patron a organise cette sceance humiliante en la sacrifiant a ses interets.
Les claques commencent a pleuvoir sur les fesses aui rougissent rapidement , et S ne eut retenir longtemps ses gemissements, tandis que les plus frustresclment : "payons-nous sur la bête ; prenons de force ce qu'elle nous a promis par ruse" et soudinement elle sent un sexe brulant forcer ses reins. Puis les banquiers devenus fous de frustration se defuolent les uns apres les autres au creux de ses reins.
Face a S durant le dejeuner, restant silencieuse pendant que la meute hurlait, une femme fort elegante regarde S d'un sourrire amusee. Elle attend la fin du defoulement collectif pour reprendre le flambeau de l'humiliation enduree par S et sait aue ces viols repetes ne penetrent pas le mental de S .
Les hommes repus , cette femme propose aux banquiers de s'occuper personnelement de S et de vengeur leurs interets. N'attendant plus rien en retour, les hommes acceptent et confient a leur seule collegue feminine le soin de reformer le comportement de S.
La banquiere entraine alors S dans un cabinet prive attenant et la nettoie doucement de ses souillures, elle lui murmure qu'elle a bien merite cette severe lesson par son attitude ambigue fort peu professionnelle et qu'elle a egalement perdu gros dans la rupure subite de ce contrat.
S comprend alors que son calvaire n'est pas termine et s'interroge en attendant sur les intentions de cette maitresse femme.
Sa maitresse exige de S qu'elle ouvre grand sa bouche et lui bloque les dents ecartees par un batonnet de bois qu'elle lui fixe de chaque cote. Ainsi la bouche ecartelee, S ne peut ni repondre , ni crier et ressent une grqnde honte a baver sur le cote sans la moindre tenue.
Sa maitresse demande alors a S de s'allonger sur le dos , et enjambe la tête de S en placant ses jambes de chaque cote de son visage. S voit de chaque cote les hautes talons de ses escarpins dont elle craint au'elle ne la blesse. "Ne bougez pas" ordonne sa maitresse, qui s'abaisse lentement sur le visage de S qui decouvre alors qu'elle ne porte pas de dessous.
Ta punissions ne sera pas violente, ni marquante dans tes chairs, mais humiliante, dont tu garderas longtemps le gout en bouche lui promet sa maitresse soudain d'une voix tres ferme ; contrastant avec la douceur precedente.
Horrifiee, S voit descendre sur sa bouche ecartelee, sa maitresse prend alors une grande aspiration et l'horreur se peint sur les traits de S lors qu'elle decouvre le gout de sa punition. Incapable de tourner la tête bloquee par les escarpins de sa maitresse, la bouche grande ouvert, elle ne peut pas se soustraire a cette humiliation qui la penetre et la revulse a fond de son ame.
Une fois soulagee,sa Maitresse lui rapelle ses engagements de reparer les fautes commises et les promesses non tenues, sinon, elle saura a tout moment ou trouver un "pot de chambre" docile et disponible.
Soumise et vaincue, S est alors affectee au service personnel de sa nouvelle maitresse qui la dresse chaque jour a satisfaire les desirs de ses banquiers frustres tout en accomplissant sesfonctions hygieniques