Sylvie, interrogée par le Directeur, mais punie pas son examinatrice

Notre société prépare une grande migration informatique et tous les salsriés doivent être évalués sur leurs connaissances. Le Grand Patron en personne doit venir interroger les collaborateurs pour tester leurs compétences.

Sylvie est une jeune chef produit, aussi sexy qu'élégante. POu rpréparer son interrogation, elel s'est habillé avec beaucoup de gout, l'enselble est très sexy et lui va particulièreent bien. Elle se sent sur d'elle ; autant su rle plan professionnel que l'attrait physique ; elle pense qu'en cas de problémes, son apparence sexy lui garantit la clémence du patron.

Lorsque celui vient l'interrpger, elle répond avec assurance et lui offr eson plus beau sourrire, elle tourne sur sa chaise , nen croisant ses jambes, pour lui montrer ses cuisses, et attirer son regard sur les bottes à haut talon.

Mais l'équipe d'évaluation est venue avec plusieru sttesteurs, et parmis elle, une femme allemande, aussi stricte que perfectionniste qui voit d'un mauvais oeuil les directeurs menés par le bot du nez de cette belel écervelée.

Alors cette examinatrice rajoute quelques question spoièges, auquelles Sylvie ne sait pas réponse, elle bafouille, inverse les instructions et semble soudainement déstabilisée. L'examinatrice remarqeu alors à voix haute que cette jeune demoiselle "en français" ne maitrise pas vraiement l'outil et a besoin d'être reprise en main rapidement.

Le patron accède à sa demande et confirme d'un signe de tête la décision de cette maitresse femme. Il sourit tristement à Sylvie d'un air de regret car il aurait aimé lui accorder sa clémence, mais son poste lui en empeche.

L'examinatrice allemande retourne alors violement le siège pivtant de Sylvie qui sent immédiatement une reprise en main de sa formation. ; Celle ci lui explique rqu'elle doit désormais la suivre en salle de formation ou elle aurta une cession d'évaluation poussée et individuelle.

Cette examinatrice a une allure très autiriraire car elle porte les cheveux curts, des bottes collantes à es mollet set parle d'une voix aussi sèche qu ese slévres. Elle a vraiement le look homosexuelle, ce qui avait amusé Sylvie au début mais l'effraie à présent.

Comme nosu sommes déjà vendredi soir, et qu eles allemands logent à l'hotel voisin, l'instructrice décide que Sylvie passera le WE avec elle à réviser et décide de l'emmener immédiatement en voiture.

Sylvie, humiliée passe devant ses collègues, vaincue par cette décision aussi rapide qu'inprévue ; elle pensait séduire l epatron et se faire inviter en WE, elle se retrouve punie et sous la domination d ecette femme qui la regarde bizarement.

Arrivée à l'hotel, l'examinatrice lui explique les nouvelles règles auquelles elle devra se plier ; a chaque erreur de saisie, elle sera punie, d'abord symboliquement, puis à chaque nouvelle faute, plsu sévèrement, jusqu'à ce que la peur et la douleur lui évite toute nouvelle érreur ou étourderie.

Après quelque stapes sur le mains, Sylvie sait que sa prochaine faute lui vaudra une fessée plus sévère, sa maîtresse le lui a clairement expliqué, elle est tellement anxieuse de cette humiliation, qu'elle perd ses moyens et comment de nombreuses fautes. Sa professeur croit alors qu'elle se moque d'elle , et prend ces erreur scomme une marque de provocation qui doit êtr eimmédiatement corrigée.

Sylvie commence à pleurer, explique que la peur lui ote se smoyens, rien n'y fait, sa professeur reste inflexible, elle connait la punition, elle doit être fessée.

Sa maitresse lui ordonne alors de se rendre dans la salle de bain, pour essuyer ses larmes et vérifier sa tenue, elel ser apunie à son retour. Pendant ce temps, sa maitresse va chercher une large ceinture de cuir dans l'armoir et la dépose su rle lit pour que Sylvie sache avec quelle instrument , elle sera punie.

Sylvie pleure dan sles toilettes, incapable de s'arrêter tant la peur , la gêne et l'humiliation lui serre la gorge ; elle trouve particuulièrement injuste qu'elle savait presque tout du programme d'examen, mais que cette femme jalouse lui a tendu un piège pour se venger de son attrait su rl egrand patron.

Agacés par cette attente, l'examinatrice se lève et frappe à l aporte des toilettes, allons Sylvie, il est l'heure, vosu alles êtr pinue à présent, ouvrez cett eport eet venez vous allonger sur le lit pour votre fessée.

Les crampes dans l'extomac, Slvie ouvr ela porte, presque impatiente que la fessée passée, la peur et l'hulimiation appartienne déjà au passé.

Sa maitresse s'est changée, ell eporte une Jopdur d'équitation dans une croute de cuir noir , le bas du pantalon serré dasn des hautes bottes de cuir qui luisent dans la ménombre de la chambre. Mes bottes te plaisent demande la maitresse à Sylvie, tu vas avoir l'occasion d eles voir de plus près couché sur mes genoux.

Sur une geste de l amain, Sylvie vient s'agenouiller sur les cuisses de la professeur, celle-ci , d'un gest elent lui relève sa jupe et découvre qu'ell eport de base noirs en vue de son enrtetien avec le patron. Dans une volonté d el'humilier d'avantages, la maitresse lui explique qu'elle doit descendre sa culotte sur ses cuisses, pour offrir ses fesses à la munition méritée.

Honteuse d'avantage, Sylvie baisse timidement son string et offre ses cuisses ouvertes à la sévère punition. Après quelques caresses furtives, la punition tombre, les fesses recoivent de sévères claques retentissantes, sa maitresse lui explique qu'il s'agit simplement de "chauffer" les fesses avant la vraie punition appliqué à voups de ceintures.
Lorsque les claques deviennent trop fortes, Sylvie geint puis se mord les llèvres, puis ne pouvant plus se retenie, lache une première plainte.

C'ets le signal que sa maitresse attendait pour prendre la ceinture et commencer la sévère punition, Sylvie se cabre comme uen jument sour la brulure et sourtout de bruit mat et cuisant sur ses fesses, elors sa maitresse renforce son étreinte autour de sa taille pour l'empecher de bouger et cingle encore et encore les fesses devenue cramoisies.

Sylvie n'en peut plus, elle gémit, elle pleure, elle crie et gesticule pour échaper à a brulure qui lacèrent ses cuisses. Soudain, elle pleure san retenue, abandonnée dans les bras de sa maitresse femme, elle sait qu'elle mérite cette punition pour toutes ces fois ou elle a séduit par ses charmes, ou elle en a jour ét abusé.ELle est vaincue par cette femme si stricte et s'abaodonne sous sa punition.

Sentant sa résistance désormai vaine, sa maitresse, transforme ses coups en caresses, et console doucement Syvie de ses peurs , oui, elel sera désormais plus surveillée, et à chqeu nouvelel bétise, elle sera encors punie, elle conait maintenant le gout de la fessée, ses peurs, ses menaces, ses brulures.

Sa maitresse confir alor à Sylvie qu ele Directeur souhaite connaitre le résultat de la fessée et qu'il attend à coté, Sa maitresse ordonne à Sylvie de retser allongée sans bouger ; pui va ouvrir la porte de communciation qui communiquer aevec l'autre pièce. Le Directeur entre alors, et Sylvie réalise qu'il a non seulement tout vu et entendu ; mai qu ec'est su rson ordre que sa maitresse a modifié les résultats du test et déclenché cette féssée.

La maitresse ordonne alors à Sylvie de se tenir à genoux, main sdan sle dos, et guide de ses mains la bouche de Sylvie vers le sexe tendu du Directeur. Voulant se retirer, Sylvie a la tête fermement maintenue par sa maitresse qui lui murmure à l'oreille que si elle se dérobe, elle era punie au fouet, et au martiner , et que des photos ont été pruses de sa fessée et seront publieés et distribues dans l'entreprise.

Vaincue et soumise, Sylvie écarte dociment les lèvres et sou sles ebcuragement et menaces de sa laitressse, offre sa bouche , uis bienttot ses fesses à ce directeur.

En partant, le Directeur félicite son examinatrice des don professionaliste , et de l'efficacité de ses méthodes, Sylvie voudrai tpartir, s'enfuir, se changer .. mais le DIrecteur rajoute en partant ; "Je vous la laisse pour le WE ; j'espère quelel ser aopérationnele dès lundi" ; ne vous inquiétez pas lui répond-elle, je sens que maméthode a été compréhensible pour cette jeune soumise, qui va désormais s'attacher à mon plaisir.

Sylvie comprend alors, qu'elle n'est que la récompense de ce marché de dupe, et que désormais, son coprs ne lui appartien tplus, ses charmes muis sont interdits, elle devra se soumettre et obéir.